La nécessité d’améliorer constamment la productivité dans le secteur agro-industriel, avec des ressources humaines et financières limitées, nous amène à intensifier en permanence l’utilisation de ces ressources ainsi que de la ressource principale, la terre, en augmentant la densité de plantation et le nombre de récoltes. Tout cela conduit également à l’augmentation considérable de la vulnérabilité des plantes cultivées aux effets de facteurs nocifs.
Les méthodes traditionnelles de protection des végétaux à l’aide de produits chimiques sont assez coûteuses. Plus important encore, leur utilisation massive entraîne une baisse de la qualité de produits et/ou peut les rendre non conformes aux normes alimentaires. De surcroît, les dégâts environnementaux sont irrémédiables.
Tout cela incite les chercheurs à rechercher des méthodes alternatives «douces» en protection des plantes, non liées à la destruction directe d’organismes vivants nuisibles exclusivement à l’aide de produits chimiques.
Notre analyse a montré que, pour protéger les plantes contre les organismes vivants nuisibles, il est possible de se passer de l’utilisation directe de produits mortels ou désagréables pour eux, et qu’il suffit d’assurer une transmission continue des informations sur ces produits (par exemple, les pesticides) sous forme d’ondes électromagnétiques d’une certaine fréquence. Les insectes ou autres nuisibles perçoivent ces informations «au niveau du subconscient» et tentent soit de quitter la zone d’action, si possible, soit de réduire l’intensité de leur activité / reproduction. Cela conduit à une réduction significative, voire à la cessation presque complète de l’impact des nuisibles sur toutes les plantes cultivées et ornementales.
Pour la mise en œuvre pratique de ce concept, nous avons développé un « dispositif flicker » FP-1 qui permet de transmettre les ondes étroitement dirigées nécessaires en utilisant le phénomène bien connu de la génération et de la distribution de bruit de scintillation.
La Figure 1 montre la vue globale de l’appareil. Il est composé d’une batterie solaire (Solar Battery), d’une unité principale (Main Unit) et d’un poteau (Pillar).
L’appareil fonctionne 24 heures sur 24 s’alimentant à l’énergie solaire grâce à une batterie solaire, ce qui évite d’avoir à changer les batteries ou à installer l’alimentation secteur aux endroits où les plantes sont cultivées.
L’unité principale contient :
— un contrôleur de charge pour la batterie d’accumulateurs qui convertit la tension de la batterie solaire en tension appropriée pour recharger l’accumulateur ;
— un accumulateur destiné au stockage de l’énergie solaire, assurant le fonctionnement de l’appareil la nuit ou par temps gris (jusqu’à 36 heures) ;
— un ordinateur avec une clé USB grande capacité assurant la reproduction continue des ondes programmées par le Fabricant ;
— un amplificateur qui amplifie le signal de l’ordinateur jusqu’au niveau requis pour alimenter deux boucles filaires fermées qui sont disposées autour des plantes afin de générer des champs électromagnétiques.
Les ondes sont reproduites dans une certaine bande de fréquences sonores programmée par le Fabricant, ce qui exclut toute émission qui dépasse de plus de 1-2 mètres la zone de service. La puissance transmise par l’appareil aux boucles filaires ne dépasse pas 1 à 2 watts. Toutes les caractéristiques techniques des ondes transmises ainsi que la puissance du FP-1 utilisée pour la transmission sont nettement inférieures à tous les appareils mobiles et/ou gadgets connus. Par conséquent, elles sont absolument sans danger pour l’environnement et les utilisateurs.
La Figure 2 montre le schéma général de l’utilisation de l’appareil. Deux boucles filaires (Loop 1 et Loop 2) connectées à l’appareil génèrent un faible champ magnétique alternatif conformément aux informations des ondes enregistrées dans l’appareil. Les boucles sont disposées entre les rangs de plantes de façon à couvrir les zones à protéger par les lignes de force du champ magnétique généré. L’impact se produit à une courte distance, comme dans la technologie NFC de tout Smartphone, mais les dimensions de cet émetteur sont plus grandes, par conséquent, le rayon d’action est également plus grand.
La Figure 3 montre le schéma des champs magnétiques faibles générés par l’appareil grâce à la boucle. Les boucles doivent être disposées sur le terrain de façon à assurer la zone nécessaire et suffisante pour la protection des plantes, en tenant compte des particularités du champ magnétique généré.
Les informations portées par les ondes, mises dans l’appareil pour la reproduction, sont fournies par le Fournisseur en accord avec l’Utilisateur et peuvent avoir un caractère différent, en fonction des tâches spécifiques définies par l’Utilisateur.